Que vous soyez jeunes (+16ans) ou âgés, joueurs débutants ou confirmés, nous vous souhaitons la bienvenue à Vol Au Vent, la ville où le voleur rôde dans les rues, où le policier s'affaire à lui courir après, et où bien d'autres s'occupent étrangement...
 
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Baragh Borg arrive, ça va cogner dur !

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MessageSujet: Baragh Borg arrive, ça va cogner dur ! Baragh Borg arrive, ça va cogner dur ! EmptyMar 17 Mar - 0:43
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IDENTITE
DONNEES
NOM : Borg
PRENOM : Baragh
PSEUDO : Bora bora ou Babarg
AGE : 32 ans

AVATAR : Source
CITOYENNETE
CLASSE : Policier
RACE : Orc
SPECIALITE : gardien (de prison)
CAPACITE LATENTE : Son grognement fait trembler les voleurs, qui sont susceptibles e faire du bruit et de se faire repérer.


PHYSIQUE

Près de cent dix kilos de viande, tout en muscles, pour un bon mètre quatre vingt-cinq. Vous pouvez trembler messieurs dames. Puissant, massif, le teint verdâtre, les crocs étincelants, on ne peut pas s'y tromper, Baragh est un orc, et un vrai.

Chose curieuse, ses cheveux qui lui tombent jusqu'au bas des reins, le plus souvent nattés pour faire plus sérieux (et ne pas tremper dans le sang de ses victimes), est d'un brun acajou, voir presque rouge. Vous auriez raison de penser que ce n'est pas une couleur des plus naturelle. Baragh a pris l'habitude de se teindre les cheveux avec une décoction que lui procure régulièrement un alchimiste pas trop mauvais. Pourquoi un orc se teindrait-il les cheveux me direz-vous ? Parce qu'il le vaut bien, répondrait à coup sur Baragh. En réalité, c'était pour faire plus jeune, afficher son tempérament rebel, et puis parce qu'on a beau être orc, il arrive que même les meilleurs aiment s'admirer le nombril.

Bref, c'était de la pure coquetterie, pour faire ressortir le beau vert mousse de sa peau - fraîche et pimpante comme celle d'un orc nouveau né - et le vert lime de ses yeux, délicatement ciselés en amandes.

Sa mâchoire carrée est aussi puissante que le reste, quoique un peu plus douce que celle de la plupart de ses congénères. Ses traits sont bruts, comme taillés à la hache, mais légèrement adoucis, comme rapidement polis. Son nez, qu'il qualifie lui même d'aquilin, n'est ni plus fin ni moins gros que la plupart des gens, mais ressort de son visage à cause d'une vieille balafre qui lui traverse le visage, partant de ses pommettes pour remonter sur l'arête du nez. Baragh n'en est pas du tout gêné, au contraire, il porte fièrement cette marque de guerre, et affirme que ça renforce son côté viril.

Pour ne pas trop se faire remarquer par ses supérieurs, il porte un pantalon de cuir bien coupé, surmonté d'une chemise en lin relativement blanche. Mais dès qu'il est de repos, ou qu'il entame une soirée bien arrosée, il a tendance à faire sauter la chemise, pour le plaisir des yeux comme il dit. Il faut dire qu'il se trouve beau gosse - vous l'avez sans doute compris - mais qu'il faut lui reconnaître que son corps n'est pas des plus vilains. Pour faire ressortir ses charmants biscoteaux, il porte quelques tatouages élégamment tracés, qui se fondent sur sa peau comme s'ils s'en faisaient partie. Il aime autant que ses vieux comparses orcs vider des tonneaux de bières dans les tavernes, malgré tout, il tient à rester fier de lui, et il ne rechigne pas les efforts dans la salle d'entrainement du QG. De toute façon, il est gardien de prison, alors les muscles, c'est son outil de travail. Et un outil de travail, on en prend soin.

PSYCHISME

Un joyeux drille, légèrement - pour ne pas dire carrément - narcissique, typiquement orc.

C'est comme ça qu'il se décrit quand il s'admire devant la glace. Typiquement orc, ça veut tout simplement dire qu'il a hérité du sang chaud des siens. Il ne se met jamais en colère pour de bon, mais il adore trouver un bon prétexte pour se bagarrer, et casser quelques mâchoires. Ca défoule, et ça fait sortir les mauvaises humeurs du corps. La baston, c'est un sport parfait pour la santé.

Éternel optimiste, les seuls jours on le surprend à râler, c'est quand il se lève avec la tête enfarinée, les lendemains de ses jours de repos. Mais ça lui passe vite. Le reste du temps, il est du genre à vivre au jour le jour, sans jamais vraiment prendre le temps de s'apitoyer sur son sort, et trouvant un bon côté à chaque tragique événement de sa vie. Ce qui ne veut pas dire qu'il soit stupide. Il est vrai qu'au premier abord, ce grand orc braillard qui n'a pas l'air de penser plus loin que le bout de son nez, on pourrait le croire plutôt simplet, voir un peu niais. Il n'en est rien, mais comme il le dit si bien, il n'a pas envie de casser la tête à réfléchir a des tas de trucs compliqués. Si le besoin s'en fait sentir, il sait toutefois redevenir sérieux et faire fonctionner sa matière verte sans le moindre problème.

C'est d'ailleurs bien pour cela qu'il a été nommé gardien de prison. Au QG, il est connu qu'on peut compter sur lui dans les situations les plus délicates.

Toute qualité à ses défauts. Hélas, ce cher Baragh a une tendance à se laisser aller au narcissisme assez épatante pour quelqu'un de sa race. Bon, il le vaut bien, enfin, si on aime les grands messieurs tout vert et en muscles. Le souci, c'est qu'il a du coup tendance à se prendre pour un tombeur. Mais la vie n'est pas aussi bien faite que l'on pourrait le croire, et les demoiselles, si elles apprécient son physique, s'en vont généralement pouffer dans un coin dès qu'elles l'entendent parler.

Il faut dire qu'il n'est pas très discret, qu'il a la langue bien pendue, que n'arrange pas son franc parler. Lorsqu'il a quelque chose à dire, il le dit, sans se soucier aucunement des convenances. Sauf que quand on dit à la jolie serveuse de la taverne qu'elle a prit du poids récemment, et bien il faut s'attendre à ce que les choses ne se déroulent pas si bien que ça.


BIOGRAPHIE

Baragh ne se souvient que très vaguement de ses parents. Né dans un tribu Orc vivant à l'ancienne au bord des vieux lacs du sud, il a du être vendu très jeune pour rembourser une dette. Une dette de quoi, il n'a jamais vraiment pu comprendre, mais peut lui importe. 0 six ans, il a donc été pris en charge par vieil eflorc (à moitié elfe et à moitié orc), un ancien maître d'arme qui traversait les terres de Faemys pour regagner sa ville natale.

Le vieil Elforc avait besoin d'un apprenti, un peu orc à tout faire pour l'aider dans ses tâches journalière. Il rêvait de transmettre son savoir à ses descendants, mais le sort avait voulu qu'il resta tristement seul et célibataire. Il racheta donc Baragh, dont le tempérament déjà naturellement joyeux à l’époque le fit rapidement devenir autant un fils qu'un élève.

La ville où ils résidaient étaient aussi bien Orc que naine, et il y avait même quelques humains qui vivaient là. Baragh se fit de nombreux amis, avec qui il s'amusait à se bagarrer, bagarres sympathiques, car avec l'entraînement qu'il recevait du vieux maître, ses coups auraient pu être dangereux s'il n'avait eu la sagesse de se retenir. Après tout, la bagarre ce n'était qu'un moyen comme un autre de s'amuser. Il est d'ailleurs intéressant de remarquer que trente ans après, il pense toujours de cette façon.

En grandissant, Baragh ne put s'empêcher de s'apercevoir qu'il devenait un orc de plus en plus charmant. Au contraire de ses camarades, ses cours de combats intensifs développaient ses muscles, tout en les affinant. Ses traits étaient moins bruts, ses yeux d'un beau vert, et bien vite on se mit à le complimenter, en lui disant qu'il ferait surement des ravages parmi les jeunes filles une fois plus âgé. Il n'en fallait pas plus pour ce jeune bellâtre, qui se mit à cultiver sans aucune honte son apparence physique, se perçant les oreilles par ci, se tatouant par là. Il faut dire aussi que son maître, qui était à moitié elfe, avait des traits remarquablement fins, et malgré son âge, on devinait sans efforts qu'il avait du être largement séduisant. Il était le seul parent dont notre vert ami se souvenait, aussi il le portait en très haute estime, et désirait lui ressembler plus que tout. S'entendre dire qu'il était beau, cela le rengorgeait, et il y voyait un véritable don du ciel, qui lui permettrait un jour d'égaler son bien aimé maître.

Il continua de grandir, s'embellissant, la cervelle aussi bien remplie que ses muscles, car son maître tenait à ce qu'il en sache autant que lui sur le monde, et lui avait appris à lire et à écrire en plus de se battre.

Lorsqu'il eut vingt ans, le vieil elforc commença à dépérir. Se sentant glisser vers l'antre de Kigreshla, il fit venir Baragh à lui.

- Baragh, mon élève, mon cher fils, tu sais que je ne suis plus très vaillant.

- Maître, ne dîtes pas ça !

- Il faudra te rendre à l'évidence. Un jour ou l'autre, la déesse me rappellera à elle, et je quitterais ces terres. Mais j'aurai bien vécu, et j'aurai eu la joie de te voir grandir.

- Que puis-je faire pour vous, pour alléger vos souffrances ?

Le vieil elforc sourit.

- Je ne souffre pas. Mais puisque tu me le demande, J'ai une dernière volonté pour toi. Lorsque mon esprit aura enfin quitté mon corps, je veux que toi aussi, tu quittes cette ville.Tu es destiné à faire de plus grandes choses qu'à vivoter ici, je veux que tu partes découvrir le monde, que tu découvres par toi même tout ce que je t'ai appris. Et peut-être un jour tu trouveras l'endroit qui t'es destiné.

Prit d'une quinte de toux, il marqua une pause, humidifiant sa gorge sèche avec l'eau que Baragh lui apportât.

- Si tu trouves un jour un élève digne de ce nom, apprend lui ce que je t'ai enseigné. Sinon, met tes compétences au service d'une plus grande cause.

Fermant les yeux, il se laissa aller dans son lit, et murmura ses adieux avant de sombrer dans le sommeil.

Baragh veilla sur lui toute la nuit, incapable de croire que son cher maître se mourrait. Hélas, au matin, il était partit, le laissant seul et profondément triste, sans doute pour la première fois de sa vie. Il organisa les funérailles comme il le devait, et trouva au dernier moment le courage de sourire avant que les dernières flammes ne consument le corps du défunt. En dépit des protestation des tous ses amis, il respecta la dernière volonté de l'elforc. Il fit ses bagages, et verrouilla la porte de la seule maison qu'il ait connue. Il confia la clé à un banquier, qui s'assura de lui verser d'une somme d'argent en échange, à titre de prêt à vie, et sans se retourner, quitta la ville.

Une seule fois il versa des larmes. Il avait marché toute la journée, et faisant une halte, l tourna les yeux vers la ville. Les toits commençaient à se voiler derrière l'horizon, et lorsque le soleil emporta avec lui les dernières lueurs de son passé, quelques gouttes salées ruisselèrent sur ses joues, en hommage à la belle vie qu'il avait eu jusqu'ici.



L'histoire ne s'arrête pas là.



Les années passèrent. Il avait fréquenté des endroits miteux, combattu pour des seigneurs glorieux, vécu sans regrets, si ce n'était qu'il n'avait pas encore trouvé sa voie. Il avait promis qu'il trouverait son destin, mais pour l'instant, il n'avait rien réalisé qui sorte pour lui de l'ordinaire. Et puis, comme tant d'autres avant lui, vint le jour où il franchit les portes de cette étrange cité, celle que l'on nommait Vol au Vent.

Abasourdit par tout ce monde qui vivait là, découvrant pour la première fois des races qu'il n'avait encore jamais vu de sa vie, il déambula pendant quatre jours dans les rues, visitant la ville de fond en comble, ne s'arrêtant que pour prendre un repas. Il était tombé sous le charme. Cette ville dégageait quelque chose d'étrange, une sorte de fumet qui lui était totalement inconnu, mais qui ne lui déplaisait pas. Il décida de s'installer dans une auberge, et de voir si il pouvait offrir ses services à un quelconque noble de la ville.

Il n'avait pas encore eut le temps de tremper ses lèvres dans sa choppe, qu'un tonitruant "au voleur !" retentit, et qu'un jeune lutin s'enfuit en courant, bientôt poursuivit par un homme portant une étrange veste surmonté d'un insigne.

- Qu'est ce donc là ?

Ravie de trouver une oreille attentive, l'aubergiste se mit à lui conter les histoires de Vol au vent. Comment elle était pourrie jusqu'à la moelle à cause de ses voleurs, en même temps que la vie y avait bon gout. Comment ce qu'on appelait les policiers essayaient de ramener les mauvais éléments dans le droit chemin, comme l'ondin qu'il venait de voir passer. Comment à cause de ses étranges ingénieurs qui résidaient là, la ville disposait d'une technologie encore jamais vu ailleurs.  

Songeur, Baragh réfléchit durant toute la nuit à ce que l'aubergiste venait de lui apprendre. Les voleurs. La police. N'était ce pas cela son destin ? Une voie surement digne de l'enseignement de son maître, faite pour faire régner une certaine justice ? Oui, cela sonnait bien à ses oreilles.

Le lendemain, il alla donc se présenter tranquillement au QG, sur de lui. On lui posa toute sorte de questions, on lui fit passer des tests physiques variés, des tests écrits particulièrement difficiles, et finalement on lui annonça qu'il étit reçu, à condition qu'il veuille bien choisir sa spécialité. Sa spécialité ? Examinant tous les choix qui s'offraient à lui, Baragh hésita longuement. Serait-il un veilleur, pour se sentir libre et courir après les voleurs dans les rues ? Non, il n'avait pas vraiment l'oeil assez aiguisé pour repérer les pickpockets et les chapardeurs. Il n'avait pas la fibre d'in inquisiteur, et était trop paresseux pour devenir inspecteur. Il aurait bien fait un bon limier, mais l'idée de traquer les cambrioleurs comme des bêtes ne lui plaisait pas trop. il lui restait donc la possibilité d'être gardien. Souvent au chaud, pas obligé de courir toute la journée, avec des jours de congés. Oui, gardien c'était parfait.

On commença par lui confier de petits commerces à garder, et il fit rapidement ses preuves. Un orc qui monte la garde, ça a tout de suite un côté dissuasif. De plus, il savait très bien se battre, et peu nombreux étaient les cambrioleurs qui arrivaient à lui échapper. On fit de plus en plus appel à lui, jusqu'au jour où on lui proposa une étrange mission.

- Nous avons eu des petits soucis récemment, le nombre d'évasions est en constante augmentation. Un poste à temps complet à la prison, ça vous conviendrait ?

Et un peu que cela lui disait. Le poste de gardien de prison était l'un de ceux les plus réputés. On pouvait même être logé sur place.

- Je marche.

Et c'est ainsi que pour le moment, Baragh suit son destin, et est le plus bel orc gardien de prison que Vol au Vent ait porté.

SPECIALITES

Un policier, gardien. Pour le moment, c'est la meilleure vocation que Baragh se soit trouvé. le poste convient parfaitement à ses attentes. Payé, logé gratuitement, il bénéficie de jours de repos, car il n'est pas le seul gardien. Les prisonniers sont bien au chaud sous les verrous, le travail n'est pas trop fatiguant. Bon il est vrai que parfois, certains arrivent à prendre la poudre d'escampette. Mais c'est un détail.

Comme tout orc, Baragh possède une voix profonde, puissante. Mais lorsqu'il rugit, il arrive à produire un son qui fait vibrer les murs. la plupart du temps, les gens tremblent également, effrayés par le choc sonore. Du coup, lorsqu'il s'agit d'un prisonnier en train de se faire la malle, ou d'un voleur prit sur le fait, he bien ça permet de leur faire commettre un impair, et de se faire éventuellement repérer.


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