| Solange Fourapain, Boulangère du quartier. | |
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Sujet: Solange Fourapain, Boulangère du quartier. Jeu 26 Mar - 15:36 | | | IDENTITE DONNEES NOM : FOURAPAIN PRENOM : SOLANGE PSEUDO : // AGE : 28 ans AVATAR : Source
| CITOYENNETE CLASSE : Autre RACE : Humaine SPECIALITE : Boulangère/pâtissière CAPACITE LATENTE : //
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PHYSIQUE Lorsqu'on me voit de loin, les seules choses que l'on remarque ce sont mes formes : mon corps signale dés le premier regard que je suis très gourmande et que je goûte à toutes mes pâtisseries. Fort heureusement elles ne sont pas présentes qu'aux endroits disgracieux ! Loin d'être très féminine, c'est peut-être l'une des seules choses qui peut ôter le doute sur mon genre. Toujours vêtue de vieux pantalons pleins de farine accompagné d'une tunique, on m'appelle souvent "monsieur" avant d'entendre ma voix, si on ne fait pas attention. Une autre chose qui pourrait aider à savoir sont mes cheveux blonds : mi-long et en dégradé. Cependant, je porte toujours un foulard sur la tête : cela évite de faire tomber des cheveux dans la pâte ou sur les pâtisseries ! Et étant toujours au travail, il est rare que je me sépare de ce bout de tissu.
Avec cet aspect, les regards des hommes se posent rarement sur moi. Pourtant, les deux téméraires qui l'ont fait ont bloqué sur mon visage : "magnifique" disaient-ils. A les croire, si on ne prend que mon visage, mes kilos en trop ne se voient pas : la taille de celui-ci est "normale" d'après eux. Mes traits sont plutôt fins et ma peau n'a pas de réelles imperfections : je n'ai jamais connu les boutons des plus jeunes. L'un des hommes que j'ai connu disait que mes yeux étaient d'une couleur indescriptible et envoûtante : on en oublierait presque les cernes juste en dessous. L'autre s'amusait à dire que mes lèvres invitaient à les embrasser. De mon côté, je trouve que mon nez est "passe-partout", tout comme le reste de mon visage.
Mais les goûts et les couleurs ne se discutent pas... Et se décrire n'est, au final, que subjectif ! Le seul point que lequel tout le monde se met d'accord, c'est que je suis bien en chair !
PSYCHISME Si je devais me décrire en un seul mot je dirais : gourmande ! J'aime tout ce qui n'est pas bon pour le corps : sucreries, pâtisseries, tout ce qui invite les kilos à s'emparer de moi, j'en raffole ! Manger est mon passe-temps. D'ailleurs, mon excuse favorite est qu'il faut bien goûter avant de vendre : il ne faudrait pas décevoir les clients !
Etant plutôt solitaire dans l'âme, je ne pensais pas un jour reprendre l'affaire familiale : pourtant les clients me disent tous "agréable" ou "gentille". Même les jours où la boutique ne désemplie pas, je reste souriante. Mais si un client s'avise de m'embêter ou de refuser de payer la totalité de sa note ou si un enfant vient faire des bêtises devant chez moi : je sais me faire entendre !
Certains disent que j'ai un moral d'acier pour ne pas flancher avec le nombre de vols commis chez moi, et personne ne comprend pourquoi je n'appelle pas la police de Vol au Vent : je ne les aime pas, c'est tout ! Tout ce qu'ils trouvent à me dire lorsqu'ils savent que je me suis faite volée c'est : "c'est ça de donner aux mendiants : tout le monde vient se servir !". Si ma générosité envers les enfants abandonnés gêne même la police...
BIOGRAPHIE Fille de boulanger, je rêvais d'un tout autre avenir étant enfant. Je courrais dans la boutique de mon père et faisait râler les clients quand je leur tapais dans les jambes, ce qui me valait une bonne soufflante le soir ! Mais la colère de mon père ne durait jamais longtemps. Ma mère s'est éteinte à ma naissance et il s'est juré de toujours bien s'occuper de moi. Il a toujours souhaité me transmettre sa passion pour les pâtisseries, mais moi je rêvais d'être une princesse. Malheureusement, les années ont passé et je ne bougeais pas de cette boulangerie ! Alors à 14 ans, j'ai passé un peu plus de temps aux côtés de ma seule famille. Il m'a d'abord apprit à faire des baguettes, puis des boulots, puis des viennoiseries simples comme des croissants. Durant toute cette période, mon père m'a apprit à ressentir lorsque le pain était cuit, et peu à peu j'ai réussi à retirer mes cuissons à temps. Un jour, j'ai eu envie de faire mon premier gâteau ! Une vraie catastrophe... Même si le goût était bon, l'aspect était répugnant ! Mon père a bien rit en me disant qu'il était impossible de présenter ça aux clients, ce qui m'a beaucoup vexé sur le coup. Mais tant pis, je l'ai mangé sans en laisser une seule miette !
Durant l'année de mes 16 ans, mon père est tombé malade : il dormait tout le temps et était toujours faible. Il restait avec moi environ 2 heures par jours pour m'apprendre à présenter mes pâtisseries, en me répétant chaque jour que c'était peut-être le dernier... Ne le voyant plus, certains habitués ont commencé à me poser des questions. Ils pensaient que je n'étais que là pour vendre, que mon père était aux fourneaux dans l'arrière boutique. Je ne leur disait jamais la vérité. Puis un jour, il s'est éteint... J'ai fermé la boulangerie durant quelques jours pour m'occuper de ses funérailles et j'ai invité tous le quartier, et plus encore, à venir lui dire au revoir. Ne souhaitant pas rester à l'endroit où nous avions vécu, j'ai commencé à chercher un acheteur, mais le jour des funérailles, voyant le nombre de personnes présentes, je me suis dit que mon père avait fait le bonheur de tout ces gens l'espace de quelques minutes, lorsqu'ils mangeaient ses oeuvres... J'ai donc décidé de garder la boutique et de tenter de continuer.
Les semaines qui ont suivi ce drame ont été chaotiques : pensant que la qualité serait largement moindre, plus personne ne venait m'acheter quoi que ce soit. Un jour, j'ai vu un jeune gamin passer devant, maigre comme un clou. Je suis sorti en courant pour le rattraper, une demi baguette à la main. Je lui ai tendu en lui souhaitant un bon appétit. Le lendemain, il est revenu avec une toute petite fille que j'ai reconnue en une seconde comme sa petite soeur. Chacun un bout de pain à la main, ils se sont installé devant la boulangerie pour se rassasier. Le coeur en morceau, je devais regarder les choses en face : ma seule clientèle était 2 gamins affamés à qui j'offrais une baguette par jour... Je perdais espoir.
Le jour de mes 17 ans, je suis sortie faire un tour avec un plateau de pâtisserie et les ai distribué, en disant que c'était le cadeau que je faisais pour mon anniversaire, avant de fermer boutique. Les personnes qui goûtaient semblaient surprises du goût de ces quelques gâteaux : comme s'ils pensaient que seul mon père savait faire de bonnes choses. Mais il m'avait tout apprit, il était temps que tout le quartier le sache !
Le lendemain, la boutique n'a pas désemplie de la journée ! J'ai dû faire attendre les clients le temps que le pain cuise à nouveau. Si j'avais fait la démarche avant, peut-être que je n'aurai pas eu ces quelques mois de vide et que je n'aurai pas eu autant de problèmes d'argent. Mais le passé étant le passé, je voyais l'avenir en rose !
Aujourd'hui la boutique est toujours ouverte. Depuis plus de 10 ans que mon père était parti, j'ai réussi à garder la boutique à flot, et les clients affluent. La rumeur comme quoi j'offrais quelques bouts de baguette aux enfants affamés a également fait le tour des quartiers, aussi, une dizaine de baguette par semaine part sans apporter la moindre pièce d'or. Mais je suis fière de leur donner un peu de nourriture et de bonheur même si la police de la cité me le reproche lorsque je me fais cambrioler. Bien entendu, je ne les fait plus venir lorsque ça arrive, et je me débrouille seule. De toute façon, ce qui reste en vitrine le soir est rarement vendu le lendemain puisque je préfère vendre ce qui est à peine fait, alors ils peuvent bien se servir, même si les vitrines cassées coûtent chère.
SPECIALITES //
Dernière édition par Solange Fourapain le Lun 20 Avr - 21:26, édité 2 fois |
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Sujet: Re: Solange Fourapain, Boulangère du quartier. Jeu 26 Mar - 17:29 | | | Hello ! C'est pas mal comme début, par contre attention, les humains n'ont pas de capacité latente - Citation :
- Le seul point que lequel tout le monde se met d'accord, c'est que je suis bien en chaire !
Attention, écrit avec un e, chaire parle d'une sorte de tribune dans les églises ! Sinon j'aime bien ta manière de décrire, ça change un peu de d'habitude, à la première personne et le fait d'y inclure des commentaires extérieurs, vivement la biographie du coup Je retire ton avatar de la liste et je te laisse poursuivre. PS : de quelle couleur sont tes cheveux ? |
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Les manuscrits Admin | Peuple : Les mémoires de Vol au Vent Or : 266
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Sujet: Re: Solange Fourapain, Boulangère du quartier. Sam 18 Avr - 14:53 | | | Coucou par ici, dis-moi, il faudra penser à la terminer cette fiche, sinon elle risque de se faire corbeiller |
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Sujet: Re: Solange Fourapain, Boulangère du quartier. Lun 20 Avr - 21:27 | | | Bonjour ! Désolée pour le temps de finition :$ J'ai retiré la capacité latente et je l'ai mis en un truc qu'elle a apprit avec son père. Je te laisse voir si tout est ok Bisous |
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Sujet: Re: Solange Fourapain, Boulangère du quartier. Lun 20 Avr - 22:05 | | | Hey ! Waou, c'est une fort belle et triste histoire, j'aime beaucoup. Un personnage tout simple mais fort en même temps, ça va être très intéressant Voilà, he bien je vais donc te valider avec plaisir, je ne vois rien qui cloche avec l'univers du forum, c'est tout nickel ! (et j'ai hâte de goûter aux croissants o/ ) Du coup, tu seras dans la classe autres, en tant que citoyenne, et tu toucheras un salaire mensuel de 60PO. Bienvenue |
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Sujet: Re: Solange Fourapain, Boulangère du quartier. Mer 22 Avr - 19:08 | | | Bonjour ! Contente que tu aimes l'histoire ! Je t'en vendrai pleins Promis. Ok d'accord Je peux donc comment à RP ? |
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Sujet: Re: Solange Fourapain, Boulangère du quartier. Mer 22 Avr - 19:13 | | | Quand tu veux où tu veux ! |
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Sujet: Re: Solange Fourapain, Boulangère du quartier. Mer 22 Avr - 21:45 | | | Ok ! Merci |
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Sujet: Re: Solange Fourapain, Boulangère du quartier. | | | |
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| Solange Fourapain, Boulangère du quartier. | |
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